Info Délégation 63 - Page 165

  • Fin des jeux paralympiques de Tokyo 2020...

    La France termine en beauté ses Jeux Paralympiques de Tokyo avec deux nouvelles médailles aujourd'hui en badminton. L'homme du jour s'appelle Lucas MAZUR et comme il le souhaitait, il a écrit l’histoire de son sport en devenant aujourd'hui champion paralympique en simple et vice-champion paralympique en double avec Faustine Noël.
    Avec un total de 54 médailles dont 11 en or, la France se classe 14ème au rang des nations.
    Les Jeux de Tokyo sont finis, mais nous voulions encore profiter un peu du Japon, retrouvez un flashback sur les Jeux Paralympiques de Tokyo en 1964 et aussi d'un athlète bien connu des Japonais, l'empereur du tennis fauteuil , Shingo Kunieda.
    La flamme paralympique s’est éteinte ce soir jute après que la maire de Tokyo, Yuriko Koike ait transmis le drapeau de l'International Paralympic Committee avec les "agitos" à Anne Hidalgo, maire de Paris comme un flambeau.
    On espère que vous en savez un peu plus sur les Jeux Paralympiques et que vous avez vibrez autant que nous grâce aux athlètes paralympiques.

    Arigato.

  • Mobilisation Nationale pour la déconjugalisation de l'AAH...Manifestation Jeudi 16 septembre 2021...14h00 bd Desaix devant la Préfecture à Clermont-Ferrand

    Manifestation Jeudi 16 septembre 2021

    à 14h00

    Bd Desaix devant la Préfecture

    à Clermont-Ferrand

    Venez nombreux !

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    Le 16 septembre, des rassemblements auront lieu dans toute la France pour dire STOP À LA DÉPENDANCE FINANCIÈRE des bénéficiaires de l'allocation aux adultes handicapés (AAH).  

    Aujourd'hui, le montant de l'AAH est calculé en fonction des ressources du couple. Ainsi, 270 000 personnes en situation de handicap en couple perçoivent une AAH réduite ou en sont privées. 

     Les personnes concernées et les associations dénoncent depuis des années cette injustice. L'AAH n’est pas un minimum social comme les autres ; les personnes en situation de handicap doivent conserver leur autonomie financière lorsqu'elles ne peuvent pas travailler, condition intrinsèque du respect de leurs droits, de leur santé et de leur dignité.

    Grâce à l'implication de nombreux parlementaires et à la forte mobilisation des personnes concernées, des associations, de personnalités de la société civile, une proposition de loi permettant d’individualiser le calcul de l'AAH (c’est-à-dire sans prendre en compte les revenus du couple), a été votée en première lecture à l'Assemblée nationale en février 2020 puis au Sénat en mars 2021. Une pétition en ligne sur le site du Sénat a obtenu plus de 100 000 signatures en début d’année.

     Malgré cette forte mobilisation et l'accord de l'ensemble des partis politiques, le gouvernement a, en deuxième lecture, de nouveau modifié la proposition de loi en substituant à l'individualisation une mesure alternative d'augmentation du plafond de ressources. Cela ne répond pas à notre revendication de déconjugalisation de l'AAH, soutenue par le Défenseur des droits et la commission nationale consultative des Droits de l’homme (CNCDH).

    Pire, le 17 juin, le gouvernement est passé en force, avec un vote bloqué sur l'ensemble du texte, s’apparentant à un déni de démocratie et une entrave organisée au débat au sein de la représentation nationale. Il est encore temps de faire évoluer le texte, le débat parlementaire devant se poursuivre au Sénat puis une nouvelle fois à l'Assemblée nationale. 

     En février 2020, lors de la conférence nationale du handicap, le Président de la République, qui a fait du handicap une priorité de son quinquennat, fixait des objectifs ambitieux : "permettre à chacune et chacun de vivre une vie digne, une vie libre" ; "continuer à aller sur le chemin de l'allocation digne pour toutes les personnes en situation de handicap" ; "ouvrir de nouveaux droits pour les personnes en situation de handicap : le droit de se marier, de se pacser, de divorcer". Nous demandons au gouvernement de mettre ces promesses en application.  

    Lors du comité interministériel du handicap du 5 juillet 2021, le Premier ministre a considéré que cette demande de déconjugaliser l'AAH « n'était pas illégitime »… tout en maintenant la position du gouvernement défendue à l'Assemblée nationale.

     Le 16 septembre 2021, nos organisations appellent donc à des rassemblements partout en France :

    - pour le respect des droits et de la dignité des personnes et la reconnaissance de leur citoyenneté,
     -pour faire entendre la colère des personnes en situation de handicap, de leur famille et de la société civile mobilisée face à cette injustice sociale, 
     -pour que l'individualisation de l’AAH soit définitivement votée dans le cadre d'un processus parlementaire démocratique. 


     Premières organisations signataires : APF France handicap, Collectif Handicaps, Ligue des Droits de l'Homme, Fnath, Aides, Voir Ensemble, FISAF, ASEI, Vaincre La Mucoviscidose

  • "Depuis que j'ai emménagé avec mon compagnon, je ne touche plus l'AAH mais je souffre toujours de mon handicap !"

     

    Perdre son allocation adulte handicapé sous prétexte que son conjoint gagne "trop" : une situation loin d'être isolée !

     Rejoignez-nous le 16 septembre pour protester contre cette injustice et demander la #déconjugalisationAAH : la liste des manifestations est actualisée quotidiennement sur l'événement Facebook dédié ➡️ https://bit.ly/2UZungF

     Cliquez sur "Je participe" pour recevoir une notification dès qu'une nouvelle info y est publiée !

    Aujourd'hui, le montant de l'AAH est calculé en fonction des ressources du couple. Ainsi, 270 000 personnes en situation de handicap en couple perçoivent une AAH réduite ou en sont privées. 

    Les personnes concernées et les associations dénoncent depuis des années cette injustice. L'AAH n’est pas un minimum social comme les autres ; les personnes en situation de handicap doivent conserver leur autonomie financière lorsqu'elles ne peuvent pas travailler, condition intrinsèque du respect de leurs droits, de leur santé et de leur dignité.

    Grâce à l'implication de nombreux parlementaires et à la forte mobilisation des personnes concernées, des associations, de personnalités de la société civile, une proposition de loi permettant d’individualiser le calcul de l'AAH (c’est-à-dire sans prendre en compte les revenus du couple), a été votée en première lecture à l'Assemblée nationale en février 2020 puis au Sénat en mars 2021. Une pétition en ligne sur le site du Sénat a obtenu plus de 100 000 signatures en début d’année.

    Malgré cette forte mobilisation et l'accord de l'ensemble des partis politiques, le gouvernement a, en deuxième lecture, de nouveau modifié la proposition de loi en substituant à l'individualisation une mesure alternative d'augmentation du plafond de ressources. Cela ne répond pas à notre revendication de déconjugalisation de l'AAH, soutenue par le Défenseur des droits et la commission nationale consultative des Droits de l’homme (CNCDH).

    Pire, le 17 juin, le gouvernement est passé en force, avec un vote bloqué sur l'ensemble du texte, s’apparentant à un déni de démocratie et une entrave organisée au débat au sein de la représentation nationale. Il est encore temps de faire évoluer le texte, le débat parlementaire devant se poursuivre au Sénat puis une nouvelle fois à l'Assemblée nationale. 

    En février 2020, lors de la conférence nationale du handicap, le Président de la République, qui a fait du handicap une priorité de son quinquennat, fixait des objectifs ambitieux : "permettre à chacune et chacun de vivre une vie digne, une vie libre" ; "continuer à aller sur le chemin de l'allocation digne pour toutes les personnes en situation de handicap" ; "ouvrir de nouveaux droits pour les personnes en situation de handicap : le droit de se marier, de se pacser, de divorcer". Nous demandons au gouvernement de mettre ces promesses en application.  

    Lors du comité interministériel du handicap du 5 juillet 2021, le Premier ministre a considéré que cette demande de déconjugaliser l'AAH « n'était pas illégitime »… tout en maintenant la position du gouvernement défendue à l'Assemblée nationale.

    Le 16 septembre 2021, nos organisations appellent donc à des rassemblements partout en France :

    - pour le respect des droits et de la dignité des personnes et la reconnaissance de leur citoyenneté,
    - pour faire entendre la colère des personnes en situation de handicap, de leur famille et de la société civile mobilisée face à cette injustice sociale, 
    - pour que l'individualisation de l’AAH soit définitivement votée dans le cadre d'un processus parlementaire démocratique. 

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